à l’aube, ce qui naît cherche son nom… Octavio Paz

Au lieu de chanter l’avènement de l’idéal de la démocratie libérale et du marché capitaliste dans l’euphorie de la fin de l’histoire, au lieu de célébrer « la fin des idéologies » et la fin des grands discours émancipatoires, ne négligeons jamais cette évidence macroscopique, faite d’innombrables souffrances singulières : aucun progrès ne permet d’ignorer que jamais, en chiffre absolu, jamais autant d’hommes, de femmes et d’enfants n’ont été asservis, affamés ou exterminés sur la terre… Jacques Derrida. Points de suspension ce carnet propose deux directions, intitulées respectivement :

« Chassiers » et « Création ».

Ces deux directions sont parallèles, mais comme « Ailleurs » n’est pas situé dans un espace euclidien, sinon ça se saurait, elles se recoupent plusieurs fois…

off

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(modifié le 5 mars 2015.) Voir les précisions contenues dans Ailleurs-sur-Toile?

Une réponse à “à l’aube, ce qui naît cherche son nom… Octavio Paz”
  1. Christiane Fargier dit :

    Monsieur Denis bonsoir

    Voilà une revenante allez-vous penser… En effet, je vous avez laissé un message il y a un an et demi je crois.
    LE problème c’est que je ne l’ai plus retrouvé sur votre site si riche et que, de ce fait, je n’ai pas non plus eu votre réponse. Et pourtant, depuis que j’ai découvert votre blog, mes visites sont régulières, soit pour aller à la pêche aux renseignements historiques , soit pour aller à la rencontre de vos écrits.
    Ce soir, je cherchais des pistes pour créer un blog moi aussi et votre réponse s’est affichée! Ne dit on pas que le hasard fait bien les choses?
    JE suis la petite fille de Marcel et Anna Mounier de Broches. En ce qui concerne mes recherches sur les Mounier , ils étaient originaires de Coulens et sont arrivés à Broches vers 1800 je pense. Marie Mounier fait bien partie des collatéraux, elle a épousé selon mes recherches un André Payan. JE suis remontée avec certitude jusqu’en 1702 ( naissance de Claude Mounier) J’ai un doute -minuscule- pour les générations d’avant, mais, selon moi les Mounier sont arrivés de Sanilhac . A l’occasion et si cela vous intéresse, je pourrai partager le fruit de quelques années de prospection.
    En ce qui concerne une édition éventuelle de vos œuvres, je comprends tout à fait vos réticences. Ce que je vous écrivais était bien égoïste: je lis difficilement sur l’écran de l’ordinateur. Je préfère être au chaud d’un bon fauteuil
    avec un LIVRE, un vrai entre les mains.
    Bonne continuation sur cette belle route d’Histoire et d’ histoires. Merci de nous faire partager
    Cordialement
    Christiane

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