En attendant la suite du précédent billet sur Chassiers (elle ne saurait tarder), je vous propose un texte qui aurait pu figurer dans l’autre chemin du blog puisque il relève plus du conte que du récit historique. Il a été commencé, il y a quelques années, à l’occasion d’une soirée locale au cours de laquelle avait été organisé un Festival du Conte, le jour même de la Journée du Patrimoine, un 21 septembre.


Depuis la rédaction de certains passages, des changements ont eu lieu. J’ai pris le parti de ne pas les signaler et de conserver le texte intial, afin de ne pas rompre le rythme… si tant est qu’il y en ait un. Et comme le texte est particulièrement long, j’ai préféré le livrer en fichier .pdf auquel vous pouvez accéder par ce clic

2 réponses à “Se promener dans le village de Chassiers.”
  1. epaminondas dit :

    Bonsoir,
    j’ai lu avec un certain intérêt votre promenade à travers le village de Chassiers, mais je me permets de vous faire part de quelques déceptions. J’eusse aimé, en effet, vous voir parler (ou que vous parlassiez) de certains signes qui n’auraient pu dû pouvoir échapper à la vigilance du grand-père paternel de votre grand-père maternel : la pierre, par exemple, qu’on aperçoit à partir de la place sur la muraille de grès de l’église ; ou les traces laissées par l’aiguisage des instruments agricoles sur les colonnettes de la porte de Saint-Benoît… Par ailleurs (mais non à Ailleurs-sur-Toile hélas!), je m’étonne que votre conterie n’est pas fait passer son cheminement par l’école communale qui, pour récente qu’elle soit, affirme sa présence avec tant de bonheur dans le patrimoine ancien qu’il est impossible que votre quadrisaïeul n’en ait pas perçu l’existence…
    Ces réserves posées, je suis sensible à l’effort (un peu bavard, quand même) dont votre texte témoigne pour souligner les incertitudes exquises sur le passé du village.

  2. henri dit :

    Bonjour,
    ayant quelque acointance avec le conteur, je me permets de faire remarquer à Epaminondas qu’il eût pu, dans sa missive, signaler d’autres manques au récit des mystères de Chassiers, ne serait-ce (ou est-ce « ne fût ce »?)que la transmutation que le village subit quand il est éclairé, la nuit, par les torches des tourneurs de manivelles lors du Festival de la fin août. Mais je suis en plein accord avec lui quand il souhaite que la place de l’école communale soit plus soulignée.

  3.  
Répondre