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(le 12 février 2009) Je me rends compte que les digressions (sur l’art roman, sur la lumière profonde) envahissent ce chapitre consacré à l’avènement de la chapelle Saint-Benoît « dans » l’Histoire de Chassiers ». Tout récit historien, pour se trouver au carrefour d’autres récits plus philosophiques, plus poétiques…, est ainsi menacé d’explosion par sa propre logique.

Mais un récit explosé risque fort de devenir un récit illisible, c’est-à-dire le contraire d’un récit. C’est pourquoi, tout en laissant des traces de cette explosion avec les billets précédents, je cherche à fournir au lecteur un moyen plus confortable de s’y retrouver. Pour cela, je regroupe le texte présenté dans les deux précédents billets avec d’autres textes sur l’art roman dans un fichier .pdf que le lecteur pourra consulter à l’adresse suivante ICI et pour sauter au quatrième chapitre, on cliquera ici

Ce carnet « parle » souvent d’Yves Bonnefoy dans sa partie CREATION notamment voir

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