Je me contente de signaler ici une réflexion autour de la lecture dite numérique, qui me paraît éclairante, à condition de ne pas en rester à ce que l’auteur, Alain Giffard (que je ne connais pas), appelle « la pré-lecture ». Et puis ce court billet (mais la référence est longue) montrera que le blogueur ne dort pas !

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