De l’inexistence

Patience ! si vous cherchez par hasard un billet précis de l’aiguillage “Création”, il vous faudra franchir encore une étape. Le sous-aigullage “De l’inexistence” contient les billets suivants : De l’inexistence (1) sur la Seconde Rêverie du Promeneur Solitaire De l’inexistence (2) ou Le Vieillard Cerisier De l’inexistence (3) ou La Terre Fictive De l’inexistence (4) Sophisme et Aporie Les Poètes au secours : Yves Bonnefoy De l’inexistence (6) Encore Yves Bonnefoy Quelques questions posées par l’inexistence à l’Histoire A propos d’un article du Monde.fr De l’inexistence (9) La Pensée et l’Etendue Les Poètes au secours : Bernard Noel De l’inexistence (11) A propos de la Science Galiléenne De l’inexistence (12) Le Désenchantement du Monde Bonjour Mina, Bonjour Julie De l’inexistence (14) ou L’Impossible Genèse Le Paradigme de la Complexité Les Poètes au secours : Colette Gibelin Mais qui est donc Bertran de Born ? (De l’inexistence.17) Ici et Maintenant (de l’inexistence 18) L’inquiète voix / Heureuse sous les roches du silence… (de l’inexistence 19) Deux romans de Sylvie Germain : de l’inexistence(20) Train de Nuit pour Lisbonne : de l’inexistence (21) L’esper et le respir : de l’inexistence 22) Pourquoi tant de hargne, Elfriede Jelinek ? de l’inexistence (23) Sous les galets, la page : de l’inexistence (25) M point B tiret L (26) Au sujet d’un texte de Pierre Ouellet(27) Advienne ce que pourra (28) Une rencontre en terrasse (29) Présence (30) Les Poètes au secours : Colette Gibelin(suite)(31) Stase et Hypostases (32) Et voici Thérèse d’Avila (33) Théologie vs ontologie (34) To be and not to be (35) Mais n’oubliez jamais ceci :

Au lieu de chanter l’avènement de l’idéal de la démocratie libérale et du marché capitaliste dans l’euphorie de la fin de l’histoire, au lieu de célébrer « la fin des idéologies » et la fin des grands discours émancipatoires, ne négligeons jamais cette évidence macroscopique, faite d’innombrables souffrances singulières : aucun progrès ne permet d’ignorer que jamais, en chiffre absolu, jamais autant d’hommes, de femmes et d’enfants n’ont été asservis, affamés ou exterminés sur la terre… Jacques Derrida. Points de suspension

2 réponses à “De l’inexistence”
  1. Christiane Fargier dit :

    Si, un jour, au lieu d’aller à la pêche aux rêves ou à la recherche du passé de Chassiers
    vous vous décidiez à partager tout cela avec le plus grand nombre,
    c’est à dire, pour dire vrai, à faire fi de toute paresse inhérente à l’Homme,
    et à rechercher – pour trouver – LA maison d’édition
    nous serions nombreux, j’en suis sûre, à vous accompagner
    le long des ruelles du vieux village avec des poèmes pleins la tête et votre livre sous le bras…

    Je viens de découvrir par hasard votre blog sur google en faisant des recherches sur les « cuves vinaires rupestres »
    Je ne sais qu’en dire sauf que j’y retrouve ce qui me fait tenir debout: l’écriture (et celle que vous partagez est celle qui me parle) et l’histoire car je fais des recherches généalogiques, en particulier sur les quartiers de Broches et de Coulens où ont vécu les MOUNIER.
    Alors, merci pour ces deux heures que je viens de passer avec mes ancêtres chassiérois ainsi qu’avec les auteurs que vous avez choisis.
    A plaisir de vous rencontrer peut être un jour.

  2. admin dit :

    Votre intervention me touche beaucoup. Elle correspond et même au-delà à ce que j’osai espérer quand j’ai décidé ce blog.

    Pour tout ce qui concerne directement Chassiers – et à la différence de l’aiguillage intitulé « Création » – j’ai toujours plus ou moins eu en tête de participer activement à la production d’un ouvrage collectif qui serait consacré à ce terroir et qui ne devrait pas rencontrer trop d’obstacles pour être publié. Mais, oui, on peut parler d’une certaine paresse sur ce point : sans recourir aux excuses de la nature humaine, je ne me sens plus vocation pour jouer les locomotives comme ce fut un peu le cas jadis.

    Cela dit, vos recherches généalogiques sur les MOUNIER m’intéresseraient, car c’est un patronyme très enraciné, en particulier à Coulens. Le premier recensement nominatif de la population de Chassiers que nous possédons (celui de 1806) fait état d’une famille Mounier au village, peut-être sur la Place (car leur maison est marquée jouxtant celle des Bellidentis-Rouchon), d’une autre à Coulens-haut et d’une troisième à Coulens-bas. On peut leur adjoindre une quatrième à Coulens-bas, puisque une certaine Marie Mounier est l’épouse de Jean-Louis Payan (qui est noté comme exerçant la profession de « courtier »). Mais vos recherches vous ont peut-être permis de remonter plus loin que 1806. Je suis d’ailleurs à votre disposition pour en parler avec vous.

    J’ajoute – mais vous l’avez compris – que ma « pêche aux rêves », en revanche, ne se destine pas à une publication qui irait au-delà de ce blog plutôt confidentiel, de fait. Que des proches y trouvent matière à plaisir, réflexion, amical salut, j’aime ; qu’ils soient rejoints par des visiteurs amenés là par une sorte de hasard, j’aime aussi. Mais je ne tiens pas à me lancer dans une aventure éditoriale pour laquelle je sens que je ne suis pas fait.

    Vous aurez compris aussi que je vous rencontrerais avec plaisir.

    Henri Denis

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